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Comey supplie les militaires: "S'il vous plaît, ne me tuez pas!"

 10 mai 2021

Par Michael Baxter -

Comey supplie les militaires: "S'il vous plaît, ne me tuez pas!"

Après avoir vu le cadavre d'Hillary Clinton et appris la condamnation imminente de John Podesta, un James Comey paniqué, actuellement invité au GITMO, a supplié le Corps du juge-avocat général de l'US Navy pour sa miséricorde et a déclaré que les crimes qu'il avait commis étaient toujours à la demande d'éminemment plus puissants. Des figures de proue de l'État profond.

Une source impliquée dans la bataille de Trump contre l'État profond a déclaré à Real Raw News que bien que Comey ait accepté de coopérer avec l'enquête en cours de l'armée sur Barack Hussein Obama, il n'a pas fourni de détails sur un incident spécifique pour lequel l'armée veut des réponses. Comme indiqué précédemment, le JAG a des preuves liant Comey, Obama et Susan Rice à une frappe aérienne illégale qui a tué 16 patriotes américains qui, en 2013, s'étaient rassemblés dans un refuge dans le désert du Colorado pour protester contre le régime criminel d'Obama.

«Comey a laissé tomber des dix sous sur un groupe de personnes, mais il ne parle pas d'Obama. C'est le genre de gars qui dénigre sa mère. Soit Comey craint plus Obama que sa propre exécution, soit il n'a vraiment aucune idée », a déclaré notre source.

But military investigators, our source added, have ample evidence connecting Comey to Obama’s criminal conquests. Said evidence purportedly includes testimony of another GITMO resident and internal FBI documents the military had obtained from a computer server Comey had neglected to purge after the Colorado airstrike. Speculatively, the human testimony came from former CIA Director John Brennan, who arrived at GITMO on 25 March. As Obama’s spook-in-chief, Brennan aided Obama’s war of terror on the American citizenry.

Digital documents, our source said, included an FBI surveillance order authorizing two agents—names redacted—to infiltrate the Colorado chapter of the “Three Percenters,” the militia group which had acquired photographs of guillotines being erected at FEMA camps in 3 states. A week after Comey signed the order, 16 men, women, and children were incinerated or blown to bits in a bomb blast that cratered a densely wooded area in northwest Colorado. Moreover, an after-action document acknowledged the “valiant heroism” of an agent who died in the inferno “to protect and preserve national security.” He was posthumously awarded the FBI Medal for Meritorious achievement.

“When shown the evidence, Comey denied Obama’s involvement. He said he’d taken instruction from Susan Rice, Samantha Power, and Eric Holder, and he insisted Obama never gave him instructions directly,” our source said.

But military investigators said Comey’s statements were disingenuous. They told Comey he’d likely receive capital punishment unless he “came clean” and admitted that Obama had mandated the deaths of the Coloradons and countless other patriots during his time as president.

“I guess you want to go the way of Hillary Clinton,” military investigators reportedly told Comey.

“Oh, God, please don’t kill me. I’ve said everything I know,” Comey replied.

In closing, our source said Comey will face a military tribunal; however, the U.S. Navy Judge Advocate General’s Corps will not schedule his trial until after it has extracted all sensitive info from Comey’s addled mind.

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